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"Je voulais ce nouveau poste mais je me demandais si c'était le bon choix. J'avais besoin de certitudes."

Interview Bilan de compétences : Marie-Claire D.

Hôtellerie, formation, comptabilité-gestion... Marie-Claire D., 53 ans, a touché à plusieurs secteurs d’activités au cours de sa carrière, avant de faire un Bilan de Compétences chez PERSPECTIVE, il y a quelques mois. Témoignage.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel en quelques mots ?

J’ai commencé ma carrière dans l’hôtellerie, en occupant le poste de réceptionniste. Avant de basculer sur la partie commerciale, avec l’organisation opérationnelle de séjours et la gestion des réservations, pour un Tour Operator japonais, pendant 7 ans, sur la Côte d’Azur.

Après une dizaine d’années dans le tourisme, j’ai voulu m’ouvrir à d’autres secteurs d’activités, en préparant une maîtrise de sciences de gestion, pendant 3 ans.

J’ai ensuite décidé de me recentrer sur mon coeur de métier, qui est la gestion et la comptabilité, pendant 3 ans, dans une TPE puis dans une PME. Avant de prendre le poste d’assistante commerciale, dans un centre de formation, il y a 12 ans.

Une entreprise dans laquelle je travaille toujours aujourd’hui.

 

Pourquoi avoir choisi de faire un Bilan de Compétences ?

Exerçant dans le domaine de la formation depuis une dizaine d’années, je sais quels sont les dispositifs que l’on peut mettre en oeuvre. Et je connais l’importance du Bilan de Compétences pour faire le point sur sa carrière et avoir un regard extérieur.

 

Dans quelle situation étiez-vous au moment d’aborder votre Bilan de Compétences ?

J’ai intégré mon entreprise actuelle il y a une dizaine d’années. Mais ma fonction a évolué il y a quelques mois, puisque je suis devenue conseillère formation.

Jusqu’ici, je travaillais plutôt sur les aspects règlementaires. Depuis peu, c’est à moi de faire les démarches commerciales à l’extérieur de l’entreprise. Ce n’est pas le même métier.

De fait, j’étais dans un état psychologique un peu particulier, puisque j’avais envie de ce changement de poste. Et, en même temps, je me demandais si c’était un bon choix. J’avais besoin de certitudes.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de Compétences ?

Les différents tests que j’ai passés m’ont permis de me positionner sur plusieurs domaines, au premier rang desquels figurait la réinsertion professionnelle. Ce qui était clairement en accord avec mon nouveau poste.

Ce Bilan de Compétences m’a donc rassuré, et confirmé dans mes choix.

 

Êtes-vous satisfaite de votre Bilan de Compétences ?

Oui, complètement. Cette expérience m’a permis d’avoir une vision plus claire de mon avenir, et de valider les décisions que j’avais prises.

Je souhaite aujourd’hui rester dans le domaine de la formation, mais en exerçant des postes davantage axés vers la formation qualifiante, la formation métiers.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de Compétences autour de vous ?

Oui ! Le Bilan de Compétences n’aboutit pas toujours sur un changement de carrière. En revanche, cela permet de se rebooster. Et n’oublions pas que très souvent, ce dispositif est intégralement pris en charge, donc il faut en profiter !

"Je voulais ce nouveau poste mais je me demandais si c'était le bon choix. J'avais besoin de certitudes."

Interview Bilan de compétences : Marie-Claire D.

Hôtellerie, formation, comptabilité-gestion... Marie-Claire D., 53 ans, a touché à plusieurs secteurs d’activités au cours de sa carrière, avant de faire un Bilan de Compétences chez PERSPECTIVE, il y a quelques mois. Témoignage.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours professionnel en quelques mots ?

J’ai commencé ma carrière dans l’hôtellerie, en occupant le poste de réceptionniste. Avant de basculer sur la partie commerciale, avec l’organisation opérationnelle de séjours et la gestion des réservations, pour un Tour Operator japonais, pendant 7 ans, sur la Côte d’Azur.

Après une dizaine d’années dans le tourisme, j’ai voulu m’ouvrir à d’autres secteurs d’activités, en préparant une maîtrise de sciences de gestion, pendant 3 ans.

J’ai ensuite décidé de me recentrer sur mon coeur de métier, qui est la gestion et la comptabilité, pendant 3 ans, dans une TPE puis dans une PME. Avant de prendre le poste d’assistante commerciale, dans un centre de formation, il y a 12 ans.

Une entreprise dans laquelle je travaille toujours aujourd’hui.

 

Pourquoi avoir choisi de faire un Bilan de Compétences ?

Exerçant dans le domaine de la formation depuis une dizaine d’années, je sais quels sont les dispositifs que l’on peut mettre en oeuvre. Et je connais l’importance du Bilan de Compétences pour faire le point sur sa carrière et avoir un regard extérieur.

 

Dans quelle situation étiez-vous au moment d’aborder votre Bilan de Compétences ?

J’ai intégré mon entreprise actuelle il y a une dizaine d’années. Mais ma fonction a évolué il y a quelques mois, puisque je suis devenue conseillère formation.

Jusqu’ici, je travaillais plutôt sur les aspects règlementaires. Depuis peu, c’est à moi de faire les démarches commerciales à l’extérieur de l’entreprise. Ce n’est pas le même métier.

De fait, j’étais dans un état psychologique un peu particulier, puisque j’avais envie de ce changement de poste. Et, en même temps, je me demandais si c’était un bon choix. J’avais besoin de certitudes.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de Compétences ?

Les différents tests que j’ai passés m’ont permis de me positionner sur plusieurs domaines, au premier rang desquels figurait la réinsertion professionnelle. Ce qui était clairement en accord avec mon nouveau poste.

Ce Bilan de Compétences m’a donc rassuré, et confirmé dans mes choix.

 

Êtes-vous satisfaite de votre Bilan de Compétences ?

Oui, complètement. Cette expérience m’a permis d’avoir une vision plus claire de mon avenir, et de valider les décisions que j’avais prises.

Je souhaite aujourd’hui rester dans le domaine de la formation, mais en exerçant des postes davantage axés vers la formation qualifiante, la formation métiers.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de Compétences autour de vous ?

Oui ! Le Bilan de Compétences n’aboutit pas toujours sur un changement de carrière. En revanche, cela permet de se rebooster. Et n’oublions pas que très souvent, ce dispositif est intégralement pris en charge, donc il faut en profiter !

Bilan de compétences Témoignage

"Au cours de ma carrière, mes compétences ont été plusieurs fois remises en cause. Ce Bilan était l’occasion de me rassurer, plus qu’autre chose."

Interview Bilan de compétences : Jean C.

Comptable en cabinet depuis une quinzaine d’années, Jean C., 39 ans, a décidé de faire un Bilan de compétences chez PERSPECTIVE, il y a quelques mois. Témoignage.

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis titulaire d’un DECF (Diplôme d’études comptables et financières). J’ai exercé, tout au long de ma carrière, en cabinet d’expertise comptable : de 2002 à aujourd’hui, dans les Bouches du Rhône, puis les Alpes-Maritimes.

Au début, j’étais collaborateur comptable dans un petit cabinet. Puis, je suis devenu chef de groupe chez FIDUCIAL.

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un Bilan de compétences ?

Mon rythme de travail en cabinet était très intense, la charge de travail importante. Et peu à peu, les relations se sont détériorées avec les clients et les collaborateurs…

Le métier d’expert-comptable est très difficile. A tel point que j’ai fait une dépression il y a quelques mois.

A ce moment-là, je savais que j’aimais mon métier mais je voulais sortir du monde du “cabinet”. Je me posais beaucoup de questions sur mon avenir et j’avais besoin d’être accompagné pour me reconvertir.

Je savais que le Bilan de compétences n’induisait pas forcément un changement de cap. Au cours de ma carrière, mes compétences ont été plusieurs fois remises en cause. Faire ce Bilan était l’occasion de me rassurer, plus qu’autre chose.

J’ai passé 15 ans très intenses. Je ne voulais pas revivre ça. J’avais besoin de reprendre confiance en moi.

 

Vouliez-vous changer d’entreprise, de secteur d’activité, ou tout simplement de métier ?

C’était un ensemble. Compte-tenu de ma formation et de mon expérience, je pouvais exercer divers métiers : contrôleur de gestion, économie, inspecteur des impôts, analyste financier dans une banque, …

Devant la diversité des choix qui m’étaient proposés, j’ai décidé de faire un Bilan de compétences pour me recentrer.

 

En quoi a consisté votre Bilan ?

Ce Bilan de compétences a été l’occasion de beaucoup échanger avec ma conseillère, sur mon projet et mes attentes. Nous avons fait un certain nombre de tests, pour étudier ma personnalité, et analyser les postes qui me correspondaient.

 

Comment s’est déroulé “l’après”-Bilan de compétences ?

L’objectif était de maintenir le cap de l’orientation qui a été définie. Ce que je suis plutôt parvenu à faire. J’ai beaucoup apprécié le fait que ma conseillère reste disponible, même après le Bilan.

 

Quel a été le résultat de votre Bilan de compétences ?

Très bonne surprise, puisque mon Bilan de compétences m’a orienté vers l’administration publique, ce à quoi je n’avais jamais pensé. Cela a été salvateur.

J’exerce aujourd’hui le métier d’attaché de cadre hospitalier à la Direction administrative et financière du CHU de Nice.

J’ai postulé pour un CDD d’un mois, en novembre, et je suis en CDI depuis le début de l’année.

Je suis toujours dans le même domaine mais j’explore un autre aspect de mon métier, un peu plus macro-économique qu’avant.

Mon profil est un peu atypique puisque mon Bilan de compétences ne m’a pas permis de changer de voie, mais d’environnement : investissements, subventions, trésorerie, analyse financière… Je suis toujours dans mon élément.

 

Quel Bilan dressez-vous ?

Ce Bilan de compétences m’a bien confirmé que je suis passionné par mon métier. Cela m’a permis d’ouvrir de nouvelles perspectives, ailleurs qu’en cabinet.

Pour le moment, mon poste actuel me convient. Mais je n’exclus pas d’évoluer vers des postes plus importants, au sein de mon organisation, à moyen terme.

J’ai eu la possibilité de prendre des congés au mois de mars cette année, ce que ne pouvais pas faire avant. Mes conditions de travail aujourd’hui n’ont rien à voir avec ce que j’ai connu pendant 15 ans.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de compétences autour de vous ?

Je recommande évidemment le Bilan de compétences aux personnes qui ne savent pas où elles en sont et qui ont besoin de changement. C’est un excellent outil pour réorienter sa carrière.

Le Bilan de compétences, c’est avant tout de la psychologie. Les clés, on les a, mais on a besoin d’être aiguillé. Cela permet d’ouvrir des chemins qu’on n’aurait jamais soupçonnés.

"Au cours de ma carrière, mes compétences ont été plusieurs fois remises en cause. Ce Bilan était l’occasion de me rassurer, plus qu’autre chose."

Interview Bilan de compétences : Jean C.

Comptable en cabinet depuis une quinzaine d’années, Jean C., 39 ans, a décidé de faire un Bilan de compétences chez PERSPECTIVE, il y a quelques mois. Témoignage.

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis titulaire d’un DECF (Diplôme d’études comptables et financières). J’ai exercé, tout au long de ma carrière, en cabinet d’expertise comptable : de 2002 à aujourd’hui, dans les Bouches du Rhône, puis les Alpes-Maritimes.

Au début, j’étais collaborateur comptable dans un petit cabinet. Puis, je suis devenu chef de groupe chez FIDUCIAL.

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un Bilan de compétences ?

Mon rythme de travail en cabinet était très intense, la charge de travail importante. Et peu à peu, les relations se sont détériorées avec les clients et les collaborateurs…

Le métier d’expert-comptable est très difficile. A tel point que j’ai fait une dépression il y a quelques mois.

A ce moment-là, je savais que j’aimais mon métier mais je voulais sortir du monde du “cabinet”. Je me posais beaucoup de questions sur mon avenir et j’avais besoin d’être accompagné pour me reconvertir.

Je savais que le Bilan de compétences n’induisait pas forcément un changement de cap. Au cours de ma carrière, mes compétences ont été plusieurs fois remises en cause. Faire ce Bilan était l’occasion de me rassurer, plus qu’autre chose.

J’ai passé 15 ans très intenses. Je ne voulais pas revivre ça. J’avais besoin de reprendre confiance en moi.

 

Vouliez-vous changer d’entreprise, de secteur d’activité, ou tout simplement de métier ?

C’était un ensemble. Compte-tenu de ma formation et de mon expérience, je pouvais exercer divers métiers : contrôleur de gestion, économie, inspecteur des impôts, analyste financier dans une banque, …

Devant la diversité des choix qui m’étaient proposés, j’ai décidé de faire un Bilan de compétences pour me recentrer.

 

En quoi a consisté votre Bilan ?

Ce Bilan de compétences a été l’occasion de beaucoup échanger avec ma conseillère, sur mon projet et mes attentes. Nous avons fait un certain nombre de tests, pour étudier ma personnalité, et analyser les postes qui me correspondaient.

 

Comment s’est déroulé “l’après”-Bilan de compétences ?

L’objectif était de maintenir le cap de l’orientation qui a été définie. Ce que je suis plutôt parvenu à faire. J’ai beaucoup apprécié le fait que ma conseillère reste disponible, même après le Bilan.

 

Quel a été le résultat de votre Bilan de compétences ?

Très bonne surprise, puisque mon Bilan de compétences m’a orienté vers l’administration publique, ce à quoi je n’avais jamais pensé. Cela a été salvateur.

J’exerce aujourd’hui le métier d’attaché de cadre hospitalier à la Direction administrative et financière du CHU de Nice.

J’ai postulé pour un CDD d’un mois, en novembre, et je suis en CDI depuis le début de l’année.

Je suis toujours dans le même domaine mais j’explore un autre aspect de mon métier, un peu plus macro-économique qu’avant.

Mon profil est un peu atypique puisque mon Bilan de compétences ne m’a pas permis de changer de voie, mais d’environnement : investissements, subventions, trésorerie, analyse financière… Je suis toujours dans mon élément.

 

Quel Bilan dressez-vous ?

Ce Bilan de compétences m’a bien confirmé que je suis passionné par mon métier. Cela m’a permis d’ouvrir de nouvelles perspectives, ailleurs qu’en cabinet.

Pour le moment, mon poste actuel me convient. Mais je n’exclus pas d’évoluer vers des postes plus importants, au sein de mon organisation, à moyen terme.

J’ai eu la possibilité de prendre des congés au mois de mars cette année, ce que ne pouvais pas faire avant. Mes conditions de travail aujourd’hui n’ont rien à voir avec ce que j’ai connu pendant 15 ans.

 

Recommanderiez-vous le Bilan de compétences autour de vous ?

Je recommande évidemment le Bilan de compétences aux personnes qui ne savent pas où elles en sont et qui ont besoin de changement. C’est un excellent outil pour réorienter sa carrière.

Le Bilan de compétences, c’est avant tout de la psychologie. Les clés, on les a, mais on a besoin d’être aiguillé. Cela permet d’ouvrir des chemins qu’on n’aurait jamais soupçonnés.

Confiance en soi Bilan de compétences

"Après chaque rendez-vous avec ma conseillère, j'avais un peu plus confiance en moi"

Interview Bilan de compétences : Cédric P.

Après 20 ans passés dans le domaine du meuble, Cédric P., 38 ans, a décidé d’effectuer un Bilan de compétences il y a quelques mois. Témoignage.

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je viens du “meuble”’. Je n’ai pas suivi de formation spécifique : j’ai appris sur le tas.

Après avoir enchaîné plusieurs petits boulots dans la restauration, et à l’Opéra de Nice, j’ai commencé comme antiquaire. Avant de travailler une dizaine d’années dans le mobilier neuf, dans des enseignes comme Roche Bobois, Cuir Center, et, dernièrement, Château d'Ax, où j’ai occupé le poste de Manager des ventes, jusqu’il y a quelques mois.

Témoignage Bilan de Compétences Cédric P

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un Bilan de compétences ?

L’été dernier, cela faisait près de 8 ans que je travaillais dans la même entreprise.

Je voulais avoir mes week-ends : j’en avais marre de travailler tous les samedis, tous les jours fériés, tous les dimanches de solde. Cela faisait 20 ans, cela me pesait de ne pas voir mes enfants. Je voulais vraiment en profiter. C’était le bon moment pour changer.

Sauf que voilà. Après 20 ans dans le même domaine, ça me semblait difficile de me reconvertir. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire, j’étais complètement perdu. J’avais besoin de savoir où j’en étais, vers quoi je pouvais m'orienter.

Un ami m’a recommandé de faire un Bilan de compétences. Il m’a expliqué en quoi ça consistait. Je trouvais que c’était une bonne idée pour faire le point sur mon parcours professionnel, être guidé et savoir si je poursuis dans la même entreprise ou si je décide de partir.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de compétences ?

Ma conseillère avait une approche psychologique qui m’a beaucoup plu. J’avais beaucoup apprécié sa méthode de travail. Je la trouvais très compétente. Et son accompagnement m’a fait beaucoup de bien. 

 

Quel en a été le résultat ?

A la sortie du Bilan, ma conseillère et moi nous sommes dirigés vers un BTS Management des Unités Commerciales.

Cela m’a demandé un peu de travail de reprendre les études parallèlement à mon poste, en novembre dernier. Mais je l’ai fait, en faisant une VAE. Et je l’ai réussi.

 

Comment s’est déroulé “l’après”-Bilan de compétences ?

Ma gérante a décidé de mettre le magasin en vente le 31 janvier dernier. Et cela ne m'intéressait pas du tout d'être “repris” par une autre marque. J’ai donc décidé de partir avec une rupture conventionnelle.

A la suite de quoi j’ai cherché un poste dans le Management. Mais en sortant du “meuble”.

Il y a beaucoup de domaines qui auraient pu me correspondre, en tant que manager ou commercial, notamment dans la téléphonie. Mais, en un mois de recherches, je n’ai pas trouvé de postes qui me plaisaient plus que ça.

 

Dans quelle situation professionnelle êtes-vous aujourd’hui ?

J’ai décidé de me réorienter vers tout autre chose, en mars dernier, puisque je suis désormais agent immobilier. Beaucoup de monde me voyait là-dedans.

C’est même quelque chose que ma conseillère m’avait recommandé au moment du Bilan de compétences. C’était ressorti lors des tests psychométriques que j’ai passés. Mais je n’en avais pas envie à ce moment-là. Ce n’est pas ce que je voulais.

Puis j’en ai parlé à mes amis. J’ai eu une opportunité. J’ai testé. Et depuis mars, je suis à la tête de ma micro-entreprise. Et ça me plaît.

 

Quel est votre sentiment ?

Je suis heureux. Aujourd’hui, toutes les contraintes que j’avais dans le “meuble” sont derrière moi, puisque je choisis mes propres horaires de travail.

Je débute, donc au niveau du salaire, c’est un peu dur au début, c’est normal. En revanche, au niveau de la vie de famille, il n’y a aucun doute.

 

Êtes-vous satisfait de votre Bilan de compétences ?

Je suis complètement satisfait de mon Bilan de compétences. Cet accompagnement m’a fait beaucoup de bien. J’ai même recommandé vos services à des personnes autour de moi, qui se posaient les mêmes questions que moi.

Je trouve que c’est une belle remise en question, sur plein de choses. Cela peut vous permettre d’ouvrir les yeux sur des métiers auxquels vous ne pensiez pas.

C’est aussi une grande aide psychologique : à chaque fois que je sortais de mon rendez-vous avec ma conseillère, j’avais un peu plus confiance en moi.

C’est d’ailleurs l’une des raisons qui m’a encouragé à faire un BTS, avec une VAE… Mais aussi à suivre une préparation TOEIC en anglais.

C’est vraiment mon Bilan de compétences qui m’a permis de trouver la confiance et la motivation pour faire tout cela.

"Après chaque rendez-vous avec ma conseillère, j'avais un peu plus confiance en moi"

Interview Bilan de compétences : Cédric P.

Après 20 ans passés dans le domaine du meuble, Cédric P., 38 ans, a décidé d’effectuer un Bilan de compétences il y a quelques mois. Témoignage.

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je viens du “meuble”’. Je n’ai pas suivi de formation spécifique : j’ai appris sur le tas.

Après avoir enchaîné plusieurs petits boulots dans la restauration, et à l’Opéra de Nice, j’ai commencé comme antiquaire. Avant de travailler une dizaine d’années dans le mobilier neuf, dans des enseignes comme Roche Bobois, Cuir Center, et, dernièrement, Château d'Ax, où j’ai occupé le poste de Manager des ventes, jusqu’il y a quelques mois.

Témoignage Bilan de Compétences Cédric P

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un Bilan de compétences ?

L’été dernier, cela faisait près de 8 ans que je travaillais dans la même entreprise.

Je voulais avoir mes week-ends : j’en avais marre de travailler tous les samedis, tous les jours fériés, tous les dimanches de solde. Cela faisait 20 ans, cela me pesait de ne pas voir mes enfants. Je voulais vraiment en profiter. C’était le bon moment pour changer.

Sauf que voilà. Après 20 ans dans le même domaine, ça me semblait difficile de me reconvertir. Je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire, j’étais complètement perdu. J’avais besoin de savoir où j’en étais, vers quoi je pouvais m'orienter.

Un ami m’a recommandé de faire un Bilan de compétences. Il m’a expliqué en quoi ça consistait. Je trouvais que c’était une bonne idée pour faire le point sur mon parcours professionnel, être guidé et savoir si je poursuis dans la même entreprise ou si je décide de partir.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de compétences ?

Ma conseillère avait une approche psychologique qui m’a beaucoup plu. J’avais beaucoup apprécié sa méthode de travail. Je la trouvais très compétente. Et son accompagnement m’a fait beaucoup de bien. 

 

Quel en a été le résultat ?

A la sortie du Bilan, ma conseillère et moi nous sommes dirigés vers un BTS Management des Unités Commerciales.

Cela m’a demandé un peu de travail de reprendre les études parallèlement à mon poste, en novembre dernier. Mais je l’ai fait, en faisant une VAE. Et je l’ai réussi.

 

Comment s’est déroulé “l’après”-Bilan de compétences ?

Ma gérante a décidé de mettre le magasin en vente le 31 janvier dernier. Et cela ne m'intéressait pas du tout d'être “repris” par une autre marque. J’ai donc décidé de partir avec une rupture conventionnelle.

A la suite de quoi j’ai cherché un poste dans le Management. Mais en sortant du “meuble”.

Il y a beaucoup de domaines qui auraient pu me correspondre, en tant que manager ou commercial, notamment dans la téléphonie. Mais, en un mois de recherches, je n’ai pas trouvé de postes qui me plaisaient plus que ça.

 

Dans quelle situation professionnelle êtes-vous aujourd’hui ?

J’ai décidé de me réorienter vers tout autre chose, en mars dernier, puisque je suis désormais agent immobilier. Beaucoup de monde me voyait là-dedans.

C’est même quelque chose que ma conseillère m’avait recommandé au moment du Bilan de compétences. C’était ressorti lors des tests psychométriques que j’ai passés. Mais je n’en avais pas envie à ce moment-là. Ce n’est pas ce que je voulais.

Puis j’en ai parlé à mes amis. J’ai eu une opportunité. J’ai testé. Et depuis mars, je suis à la tête de ma micro-entreprise. Et ça me plaît.

 

Quel est votre sentiment ?

Je suis heureux. Aujourd’hui, toutes les contraintes que j’avais dans le “meuble” sont derrière moi, puisque je choisis mes propres horaires de travail.

Je débute, donc au niveau du salaire, c’est un peu dur au début, c’est normal. En revanche, au niveau de la vie de famille, il n’y a aucun doute.

 

Êtes-vous satisfait de votre Bilan de compétences ?

Je suis complètement satisfait de mon Bilan de compétences. Cet accompagnement m’a fait beaucoup de bien. J’ai même recommandé vos services à des personnes autour de moi, qui se posaient les mêmes questions que moi.

Je trouve que c’est une belle remise en question, sur plein de choses. Cela peut vous permettre d’ouvrir les yeux sur des métiers auxquels vous ne pensiez pas.

C’est aussi une grande aide psychologique : à chaque fois que je sortais de mon rendez-vous avec ma conseillère, j’avais un peu plus confiance en moi.

C’est d’ailleurs l’une des raisons qui m’a encouragé à faire un BTS, avec une VAE… Mais aussi à suivre une préparation TOEIC en anglais.

C’est vraiment mon Bilan de compétences qui m’a permis de trouver la confiance et la motivation pour faire tout cela.

Bilan de compétences volez de vos propres ailes

"Vous êtes beaucoup aidé(e) pendant 8 semaines... avant de voler de vos propres ailes"

Interview Bilan de compétences : Florine POUX-BERTHE

Assistante commerciale dans le secteur de la communication depuis une quinzaine d’années, Florine POUX BERTHE a décidé de réaliser un bilan de compétences à 39 ans. Témoignage.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Diplômée d’un Master 2 en Création multimédia, en 2005, j’ai commencé à travailler en 2006 dans le secteur de la Communication : vente d’affichages publicitaires urbain (abribus, etc.), signalétique… Cela fait 5 ans, aujourd’hui, que j’exerce le métier d’assistante commerciale dans une entreprise d’affichage grands formats et d’événementiel, à Carros (06).

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

Je connais ma branche sur le bout des doigts, donc il y a forcément un sentiment de “confort”. Sauf qu’après, la réalité du métier reprend très vite le dessus : téléphone, devis, mises en production… je ne me sentais plus à ma place, il y a trop de stress. On travaille pour travailler. Se lever le matin avec la boule au ventre, ce n’est pas pour moi.

FLORINE POUX BERTHE - témoignage Bilan de compétences

Je n’avais plus confiance en moi. Je ne savais plus ce que je voulais faire. J’étais vraiment perdue. Je ne me connaissais plus. On se pose beaucoup de questions : “Je dois partir, j’ai besoin d’aide, mais je ne sais pas où, je ne sais pas quoi.”

J’avais le sentiment de ne pas exploiter l’ensemble de mes capacités et de mes compétences. Quand on n’a plus de passion, plus d’intérêt, plus envie d’aller travailler, et que cela devient mécanique, c’est compliqué.

Je n’ai jamais été comme ça, donc il fallait que je fasse quelque chose. Mes congés d’été, l’an dernier, m’ont permis d’ouvrir les yeux.

Comment avez-vous découvert le bilan de compétences ?

A ce moment-là, je voulais partir, mais je ne savais plus quoi faire : je me suis dit qu’il me fallait une aide extérieure. C’est en faisant des recherches sur Internet que j’ai découvert ce qu’était le bilan de compétences. J’avais vraiment besoin d’en passer par là.

J’ai appelé 2 centres de bilans de compétences à Nice. PERSPECTIVE m’a donné la possibilité de l’effectuer le samedi : cela m’arrangeait. Et le feeling avec ma conseillère est tout de suite passé. Donc je n’ai pas hésité.

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

Au moment d’aborder mon bilan, au mois de décembre, je n’avais pas d’idée de métier en tant que tel. Les deux premiers rendez-vous m’ont littéralement bluffée. Dès le début, les tests de personnalité ont révélé que j’avais un profil “sanitaire”.

Il faut savoir que j’avais déjà passé le concours d’infirmière, à 2 reprises, il y a plus de 5 ans, parce qu’à l’époque déjà, mon quotidien professionnel ne me correspondait plus. Le bilan de compétences m’a permis de me rendre compte que ce n’était peut-être pas une “lubie” à l’époque.

J’en suis aujourd’hui convaincue : je suis faite pour être infirmière. Nous sommes parties sur cette voie-là avec ma conseillère. Nous avons beaucoup discuté et beaucoup travaillé.

Qu’est-ce qui vous attire dans le milieu de la santé plus qu'ailleurs ?

Le stress que je subis aujourd’hui dans mon travail n’est pas utilisé à bon escient. En tant qu’infirmière, il y a aussi du stress… mais c’est pour des bonnes raisons, pour de vraies urgences.

Ce milieu m’attire essentiellement pour les relations humaines, la notion d’aide, mais aussi parce qu’il n’y a pas le même rapport à l’argent.

Comment avez-vous “travaillé” concrètement au cours de votre Bilan ?

Après avoir fait un certain nombre de recherches sur le quotidien d’une infirmière, avec des enquêtes métiers... j’ai été accompagnée, tout au long du mois de février, dans les démarches administratives et la constitution du dossier de candidature. Mais également dans la préparation de l’oral du concours, programmé 1 mois plus tard.

Comment s’est déroulé “l’après”-bilan de compétences ?

Quand le bilan se termine, il y a un vrai pincement au coeur. Humainement, on se dévoile quand même, donc on s’attache à sa conseillère. On a été tellement soutenu et appuyé qu’on a peur d’être un peu désemparé derrière.

On vous a beaucoup aidé pendant 8 semaines et c’est maintenant à vous de voler de vos propres ailes, et ça fait un peu peur. Le bilan m’a aussi apporté une part de confiance qui me manquait.

Dans quelle situation professionnelle êtes-vous aujourd’hui ?

J’ai eu les résultats du concours le 30 avril : il y avait 28 places, j’ai fini 7e. Résultat : je vais quitter mon entreprise actuelle au mois d’août, pour intégrer une école d’infirmière.

Quel est votre sentiment ?

Je suis très heureuse. Il me tarde d’intégrer l’école.

Je sais que le travail va être très dur, sans doute beaucoup plus que ce que je fais aujourd’hui. Trois ans d’école, ce n’est pas rien, mais c’est mûrement réfléchi ! Ce sera plus dur, mais le plaisir y sera.

Pour moi, c’était “infirmière” ou rien. Si je n'avais pas décroché le concours cette année, j'aurais retenté l'année prochaine. Mais c’est ce que je voulais faire.

Êtes-vous satisfaite de votre bilan de compétences ?

J’en suis très satisfaite, cela a été très bénéfique pour moi. Il faut dire que le feeling avec la conseillère a extrêmement joué. J’ai été accompagnée par une très bonne formatrice, qui m’a très bien aiguillée et a des connaissances très poussées dans plusieurs secteurs d’activités. C’était un vrai régal d’échanger avec elle. Elle m’a appris beaucoup de choses, autant sur moi que sur le milieu professionnel.

En quoi votre bilan vous a-t-il aidé à réussir votre concours ?

Le bilan de compétences est un atout, à plus d’un titre.

J’ai pu joindre la synthèse de mon bilan de compétences au dossier de candidature. Cela justifiait mon choix de reconversion et montrait que c’était mûrement réfléchi comme décision. Je pense que cela a joué.

En arrivant à l’oral de mon concours, je suis consciente que j’ai 39 ans, que je me reconvertis : ce n’est pas anodin. Le bilan de compétences m’a permis de gagner en sérénité. J’ai relu la synthèse de mon Bilan de compétences avant mon entretien, et cela m’a redonné confiance et remis dans le bain. Cela m’a vraiment apporté.

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

J’ai déjà commencé à le faire. Mes collègues savaient exactement sur quoi je travaillais tout au long de mon accompagnement. Je leur expliquais le déroulement, au fur et à mesure, ainsi que le résultat de chaque test. J’ai une collègue qui souhaite partir depuis un moment. Quand elle a vu le résultat de mon bilan de compétences, et ce qu'il m'a apporté, cela lui a donné des idées.

On perd très vite confiance quand on essuie des refus à des concours ou des emplois. On se décourage rapidement. Le bilan de compétences peut vraiment aider certaines personnes à ouvrir les yeux, et leur mettre un pied à l’étrier.

Où vous voyez-vous dans 3 ans ?

C’est un peu dur d’imaginer tant qu’on n’a pas essayé les différents services… Mais idéalement, pour voir plus de choses et avoir un large éventail de la profession, je préfèrerais travailler aux urgences. Ou devenir infirmière de bloc opératoire ou anesthésiste.

Pour cela, il faut 3 ans d’expérience après l’école, puis 1 an de formation.

Je vais bientôt avoir 40 ans. Mais je ne me ferme aucune porte...

"Vous êtes beaucoup aidé(e) pendant 8 semaines... avant de voler de vos propres ailes"

Interview Bilan de compétences : Florine POUX-BERTHE

Assistante commerciale dans le secteur de la communication depuis une quinzaine d’années, Florine POUX BERTHE a décidé de réaliser un bilan de compétences à 39 ans. Témoignage.

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Diplômée d’un Master 2 en Création multimédia, en 2005, j’ai commencé à travailler en 2006 dans le secteur de la Communication : vente d’affichages publicitaires urbain (abribus, etc.), signalétique… Cela fait 5 ans, aujourd’hui, que j’exerce le métier d’assistante commerciale dans une entreprise d’affichage grands formats et d’événementiel, à Carros (06).

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

Je connais ma branche sur le bout des doigts, donc il y a forcément un sentiment de “confort”. Sauf qu’après, la réalité du métier reprend très vite le dessus : téléphone, devis, mises en production… je ne me sentais plus à ma place, il y a trop de stress. On travaille pour travailler. Se lever le matin avec la boule au ventre, ce n’est pas pour moi.

FLORINE POUX BERTHE - témoignage Bilan de compétences

Je n’avais plus confiance en moi. Je ne savais plus ce que je voulais faire. J’étais vraiment perdue. Je ne me connaissais plus. On se pose beaucoup de questions : “Je dois partir, j’ai besoin d’aide, mais je ne sais pas où, je ne sais pas quoi.”

J’avais le sentiment de ne pas exploiter l’ensemble de mes capacités et de mes compétences. Quand on n’a plus de passion, plus d’intérêt, plus envie d’aller travailler, et que cela devient mécanique, c’est compliqué.

Je n’ai jamais été comme ça, donc il fallait que je fasse quelque chose. Mes congés d’été, l’an dernier, m’ont permis d’ouvrir les yeux.

Comment avez-vous découvert le bilan de compétences ?

A ce moment-là, je voulais partir, mais je ne savais plus quoi faire : je me suis dit qu’il me fallait une aide extérieure. C’est en faisant des recherches sur Internet que j’ai découvert ce qu’était le bilan de compétences. J’avais vraiment besoin d’en passer par là.

J’ai appelé 2 centres de bilans de compétences à Nice. PERSPECTIVE m’a donné la possibilité de l’effectuer le samedi : cela m’arrangeait. Et le feeling avec ma conseillère est tout de suite passé. Donc je n’ai pas hésité.

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

Au moment d’aborder mon bilan, au mois de décembre, je n’avais pas d’idée de métier en tant que tel. Les deux premiers rendez-vous m’ont littéralement bluffée. Dès le début, les tests de personnalité ont révélé que j’avais un profil “sanitaire”.

Il faut savoir que j’avais déjà passé le concours d’infirmière, à 2 reprises, il y a plus de 5 ans, parce qu’à l’époque déjà, mon quotidien professionnel ne me correspondait plus. Le bilan de compétences m’a permis de me rendre compte que ce n’était peut-être pas une “lubie” à l’époque.

J’en suis aujourd’hui convaincue : je suis faite pour être infirmière. Nous sommes parties sur cette voie-là avec ma conseillère. Nous avons beaucoup discuté et beaucoup travaillé.

Qu’est-ce qui vous attire dans le milieu de la santé plus qu'ailleurs ?

Le stress que je subis aujourd’hui dans mon travail n’est pas utilisé à bon escient. En tant qu’infirmière, il y a aussi du stress… mais c’est pour des bonnes raisons, pour de vraies urgences.

Ce milieu m’attire essentiellement pour les relations humaines, la notion d’aide, mais aussi parce qu’il n’y a pas le même rapport à l’argent.

Comment avez-vous “travaillé” concrètement au cours de votre Bilan ?

Après avoir fait un certain nombre de recherches sur le quotidien d’une infirmière, avec des enquêtes métiers... j’ai été accompagnée, tout au long du mois de février, dans les démarches administratives et la constitution du dossier de candidature. Mais également dans la préparation de l’oral du concours, programmé 1 mois plus tard.

Comment s’est déroulé “l’après”-bilan de compétences ?

Quand le bilan se termine, il y a un vrai pincement au coeur. Humainement, on se dévoile quand même, donc on s’attache à sa conseillère. On a été tellement soutenu et appuyé qu’on a peur d’être un peu désemparé derrière.

On vous a beaucoup aidé pendant 8 semaines et c’est maintenant à vous de voler de vos propres ailes, et ça fait un peu peur. Le bilan m’a aussi apporté une part de confiance qui me manquait.

Dans quelle situation professionnelle êtes-vous aujourd’hui ?

J’ai eu les résultats du concours le 30 avril : il y avait 28 places, j’ai fini 7e. Résultat : je vais quitter mon entreprise actuelle au mois d’août, pour intégrer une école d’infirmière.

Quel est votre sentiment ?

Je suis très heureuse. Il me tarde d’intégrer l’école.

Je sais que le travail va être très dur, sans doute beaucoup plus que ce que je fais aujourd’hui. Trois ans d’école, ce n’est pas rien, mais c’est mûrement réfléchi ! Ce sera plus dur, mais le plaisir y sera.

Pour moi, c’était “infirmière” ou rien. Si je n'avais pas décroché le concours cette année, j'aurais retenté l'année prochaine. Mais c’est ce que je voulais faire.

Êtes-vous satisfaite de votre bilan de compétences ?

J’en suis très satisfaite, cela a été très bénéfique pour moi. Il faut dire que le feeling avec la conseillère a extrêmement joué. J’ai été accompagnée par une très bonne formatrice, qui m’a très bien aiguillée et a des connaissances très poussées dans plusieurs secteurs d’activités. C’était un vrai régal d’échanger avec elle. Elle m’a appris beaucoup de choses, autant sur moi que sur le milieu professionnel.

En quoi votre bilan vous a-t-il aidé à réussir votre concours ?

Le bilan de compétences est un atout, à plus d’un titre.

J’ai pu joindre la synthèse de mon bilan de compétences au dossier de candidature. Cela justifiait mon choix de reconversion et montrait que c’était mûrement réfléchi comme décision. Je pense que cela a joué.

En arrivant à l’oral de mon concours, je suis consciente que j’ai 39 ans, que je me reconvertis : ce n’est pas anodin. Le bilan de compétences m’a permis de gagner en sérénité. J’ai relu la synthèse de mon Bilan de compétences avant mon entretien, et cela m’a redonné confiance et remis dans le bain. Cela m’a vraiment apporté.

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

J’ai déjà commencé à le faire. Mes collègues savaient exactement sur quoi je travaillais tout au long de mon accompagnement. Je leur expliquais le déroulement, au fur et à mesure, ainsi que le résultat de chaque test. J’ai une collègue qui souhaite partir depuis un moment. Quand elle a vu le résultat de mon bilan de compétences, et ce qu'il m'a apporté, cela lui a donné des idées.

On perd très vite confiance quand on essuie des refus à des concours ou des emplois. On se décourage rapidement. Le bilan de compétences peut vraiment aider certaines personnes à ouvrir les yeux, et leur mettre un pied à l’étrier.

Où vous voyez-vous dans 3 ans ?

C’est un peu dur d’imaginer tant qu’on n’a pas essayé les différents services… Mais idéalement, pour voir plus de choses et avoir un large éventail de la profession, je préfèrerais travailler aux urgences. Ou devenir infirmière de bloc opératoire ou anesthésiste.

Pour cela, il faut 3 ans d’expérience après l’école, puis 1 an de formation.

Je vais bientôt avoir 40 ans. Mais je ne me ferme aucune porte...

Laurence B, Témoignage Bilan de compétences

Laurence B. - 52 ans : "Carrière, envies, personnalité... Vous faites le bilan de tout!"

Interview Bilan de compétences : Laurence B.

Infirmière depuis 23 ans, à Nice, Laurence B. a songé à se reconvertir il y a quelques mois, en raison de problèmes de santé. Témoignage.

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis infirmière depuis 23 ans, à Nice. Mon emploi me plaît, mais je rencontre, depuis quelque temps, des problèmes d’allergies au niveau des mains, en raison des obligations d’hygiène que le milieu de la santé impose (lavage des mains, gants, etc.).

Il y a quelques mois, je me suis dit que ce n’était plus possible : je souffrais de trop.
Il fallait absolument que je trouve autre chose. Je voulais poursuivre dans ce domaine, mais pour un poste qui me convienne.

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

Face à cette situation, un membre de ma famille m’a recommandé de faire un bilan de compétences, il y a quelques mois. J’appréhendais un peu, parce que ce n’est pas évident de se livrer. La réussite du Bilan dépend beaucoup de la conseillère que vous avez en face de vous. Si elle sait y faire…

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

Je me suis lancée, et j’ai réalisé mon bilan de compétences au milieu de l’année 2018, sur une période de 4-5 mois. Au début, je ne connaissais pas ma conseillère. Puis on a fait connaissance. J’avais un bon relationnel, avec de bonnes affinités.

J’ai trouvé cela super, parce que vous faites le point sur vous, votre carrière, tout ce que vous avez envie de faire, votre personnalité… Vous faites le point sur tout. Ce qui vous donne énormément de pistes !

Quel en a été le résultat ?

Au moment d’aborder mon bilan, je n’avais aucune idée de ce que je voulais ou pouvais faire. Si j’avais pu changer totalement de métier, c’est ce que j’aurais fait. Mais d’après le bilan, je suis quand même faite pour ce que je fais aujourd’hui, puisque les dimensions d’aide et de relationnel sont très présentes dans ma personnalité.

En termes de métiers, je vais me diriger vers la sophrologie. Cela me permet de rester dans le domaine de la santé, mais sans les contraintes que j’ai aujourd’hui.

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Je suis toujours infirmière à l’heure actuelle. Je vais entreprendre les démarches d'ici quelques semaines, pour commencer ma formation en novembre, le temps d’avoir les accords de prise en charge. La formation va durer 6 mois, à raison de 2 jours tous les 15 jours, parallèlement à mon emploi actuel.

Quel bilan dressez-vous de votre... bilan ?

Je suis reboostée. Cela vous redonne confiance en vous, et vous encourage à sortir de votre zone de confort. Cela vous permet de rebondir.

Le bilan de compétences n’a pas seulement des conséquences au niveau professionnel, mais aussi au niveau social : vous vous confiez à une personne que vous ne connaissez pas et qui ne vous connait pas. Et ça fait du bien.

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

J’ai déjà recommandé à plusieurs personnes de faire un bilan de compétences. Hier, je ne savais même pas que cela existait. Aujourd’hui, je le recommande à mon frère, à plein de monde. Il ne faut pas hésiter à franchir le pas.

Laurence B. - 52 ans : "Carrière, envies, personnalité... Vous faites le bilan de tout!"

Interview Bilan de compétences : Laurence B.

Infirmière depuis 23 ans, à Nice, Laurence B. a songé à se reconvertir il y a quelques mois, en raison de problèmes de santé. Témoignage.

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis infirmière depuis 23 ans, à Nice. Mon emploi me plaît, mais je rencontre, depuis quelque temps, des problèmes d’allergies au niveau des mains, en raison des obligations d’hygiène que le milieu de la santé impose (lavage des mains, gants, etc.).

Il y a quelques mois, je me suis dit que ce n’était plus possible : je souffrais de trop.
Il fallait absolument que je trouve autre chose. Je voulais poursuivre dans ce domaine, mais pour un poste qui me convienne.

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

Face à cette situation, un membre de ma famille m’a recommandé de faire un bilan de compétences, il y a quelques mois. J’appréhendais un peu, parce que ce n’est pas évident de se livrer. La réussite du Bilan dépend beaucoup de la conseillère que vous avez en face de vous. Si elle sait y faire…

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

Je me suis lancée, et j’ai réalisé mon bilan de compétences au milieu de l’année 2018, sur une période de 4-5 mois. Au début, je ne connaissais pas ma conseillère. Puis on a fait connaissance. J’avais un bon relationnel, avec de bonnes affinités.

J’ai trouvé cela super, parce que vous faites le point sur vous, votre carrière, tout ce que vous avez envie de faire, votre personnalité… Vous faites le point sur tout. Ce qui vous donne énormément de pistes !

Quel en a été le résultat ?

Au moment d’aborder mon bilan, je n’avais aucune idée de ce que je voulais ou pouvais faire. Si j’avais pu changer totalement de métier, c’est ce que j’aurais fait. Mais d’après le bilan, je suis quand même faite pour ce que je fais aujourd’hui, puisque les dimensions d’aide et de relationnel sont très présentes dans ma personnalité.

En termes de métiers, je vais me diriger vers la sophrologie. Cela me permet de rester dans le domaine de la santé, mais sans les contraintes que j’ai aujourd’hui.

Où en êtes-vous aujourd’hui ?

Je suis toujours infirmière à l’heure actuelle. Je vais entreprendre les démarches d'ici quelques semaines, pour commencer ma formation en novembre, le temps d’avoir les accords de prise en charge. La formation va durer 6 mois, à raison de 2 jours tous les 15 jours, parallèlement à mon emploi actuel.

Quel bilan dressez-vous de votre... bilan ?

Je suis reboostée. Cela vous redonne confiance en vous, et vous encourage à sortir de votre zone de confort. Cela vous permet de rebondir.

Le bilan de compétences n’a pas seulement des conséquences au niveau professionnel, mais aussi au niveau social : vous vous confiez à une personne que vous ne connaissez pas et qui ne vous connait pas. Et ça fait du bien.

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

J’ai déjà recommandé à plusieurs personnes de faire un bilan de compétences. Hier, je ne savais même pas que cela existait. Aujourd’hui, je le recommande à mon frère, à plein de monde. Il ne faut pas hésiter à franchir le pas.

Restaurant de plage François CAILLAUD Bilan de compétences

François Caillaud : "Quand on exerce son métier depuis longtemps, on ne cherche pas plus loin... Le bilan de compétences m'a permis d'ouvrir un chemin."

Interview Bilan de compétences : François CAILLAUD

Aide-plagiste puis garçon de plage depuis une quizaine d'années, François Caillaud, 32 ans, a décidé de réaliser un bilan de compétences il y a quelques mois. Témoignage.

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis titulaire d’un BEP et d’un bac pro paysagiste. Entre deux années d'étude, je partais régulièrement travailler à Cannes, pendant la saison estivale, où j’ai fait quelques saisons à l’hôtel Carlton, en tant qu’aide-plagiste.

Une fois diplômé, à 21 ans, je n’ai pas trouvé de travail tout de suite. J’ai enchaîné des petites expériences, en intérim, pendant plusieurs mois : mise en rayon chez Metro, rénovation de maison…

Puis la saison estivale a repris, et ce que je faisais à l’hôtel me plaisait, j’ai donc poursuivi dans cette voie.

Parallèlement, j’ai commencé à travailler à la montagne, en saison hivernale : à La Folie Douce, à Val Thorens (73), où j’étais responsable de bar intérieur, pendant plusieurs années, avec 6 personnes sous ma responsabilité.

L’été à la plage, et l’hiver à la montagne...

Tout à fait ! Et après plusieurs années au Carlton, je suis monté en responsabilité. De “aide-plagiste”, je suis devenu “garçon de plage”. Et même “1er garçon de plage” depuis l’année dernière, ce qui est un peu l’équivalent de maître d’hôtel.

J’y suis entré à 18 ans, cela fait 15 ans que j’y travaille. Et je vais rattaquer la saison d’ici quelques semaines.

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

J’en avais un peu marre de faire toujours la même chose. Un jour, un ami m’a demandé : “Pourquoi tu ne fais pas un bilan de compétences ?”. Je ne savais absolument pas de quoi il s’agissait. Je me suis renseigné et cela s’est fait très vite.

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

Mon bilan de compétences a duré 2 mois, à raison d’une séance de 2 heures par semaine. Au premier rendez-vous, on ne sait pas trop comment cela va se passer et ce que ça va donner, on appréhende un peu… Puis cela vous retourne ! Et ça fait du bien. Cela révèle votre état d’esprit aussi.

C’est compliqué quand on exerce le même métier depuis longtemps : on reste sur des acquis et on ne cherche pas plus loin. Le bilan de compétences m’a permis d’ouvrir un chemin.

Quel en a été le résultat ?

Le bilan de compétences m’a reboosté, et m’a encouragé à faire ce que j’ai envie de faire.

Ma forte dimension entrepreneuriale est ressortie. J’ai décidé de ne pas privilégier un métier précis, donc mon choix n’est pas totalement arrêté. Que ce soit en outre-mer ou dans la région… j’ai envie de créer une entreprise de restauration.

Vous semblez accorder autant d’importance au résultat de votre bilan, qu’à la qualité de la relation avec votre conseillère…

C’est tout à fait ça ! Il est parfois compliqué de parler de certaines choses. On peut, certes, en parler à un ami ou à un membre de sa famille, mais ce ne sera pas du tout la même réponse.

Cela s’est extrêmement bien passé avec ma conseillère. Quand quelqu’un est à l’écoute, ça fait du bien. On trouve, ensemble, des réponses à vos questions. On comprend le pourquoi du comment… Et ça aide !

Quel bilan dressez-vous de votre… bilan ?

Je suis très heureux de l’avoir fait, je regrette même de ne pas l’avoir fait plus tôt.

On croit ne pas avoir certaines compétences, et avec le bilan, on se rend compte qu’on les a. Cela vous aide évidemment sur le plan professionnel, mais cela vous apprend aussi beaucoup sur votre vie personnelle. J’ai fait un grand tri dans ma vie grâce à mon bilan de compétences : dorénavant, je laisse tomber les choses qui sont moins importantes.

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

Bien sûr ! Je le recommande à n’importe qui.

On n’en parle pas du tout au niveau scolaire, et c’est dommage ! A la sortie du bac, beaucoup de personnes ne savent pas ce qu’elles veulent faire.

Le bilan de compétences s’adresse à tout le monde. Il ne faut vraiment pas hésiter à se poser des questions pour trouver des réponses.

François Caillaud : "Quand on exerce son métier depuis longtemps, on ne cherche pas plus loin... Le bilan de compétences m'a permis d'ouvrir un chemin."

Interview Bilan de compétences : François CAILLAUD

Aide-plagiste puis garçon de plage depuis une quizaine d'années, François Caillaud, 32 ans, a décidé de réaliser un bilan de compétences il y a quelques mois. Témoignage.

Pouvez-vous présenter votre parcours en quelques mots ?

Je suis titulaire d’un BEP et d’un bac pro paysagiste. Entre deux années d'étude, je partais régulièrement travailler à Cannes, pendant la saison estivale, où j’ai fait quelques saisons à l’hôtel Carlton, en tant qu’aide-plagiste.

Une fois diplômé, à 21 ans, je n’ai pas trouvé de travail tout de suite. J’ai enchaîné des petites expériences, en intérim, pendant plusieurs mois : mise en rayon chez Metro, rénovation de maison…

Puis la saison estivale a repris, et ce que je faisais à l’hôtel me plaisait, j’ai donc poursuivi dans cette voie.

Parallèlement, j’ai commencé à travailler à la montagne, en saison hivernale : à La Folie Douce, à Val Thorens (73), où j’étais responsable de bar intérieur, pendant plusieurs années, avec 6 personnes sous ma responsabilité.

L’été à la plage, et l’hiver à la montagne...

Tout à fait ! Et après plusieurs années au Carlton, je suis monté en responsabilité. De “aide-plagiste”, je suis devenu “garçon de plage”. Et même “1er garçon de plage” depuis l’année dernière, ce qui est un peu l’équivalent de maître d’hôtel.

J’y suis entré à 18 ans, cela fait 15 ans que j’y travaille. Et je vais rattaquer la saison d’ici quelques semaines.

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

J’en avais un peu marre de faire toujours la même chose. Un jour, un ami m’a demandé : “Pourquoi tu ne fais pas un bilan de compétences ?”. Je ne savais absolument pas de quoi il s’agissait. Je me suis renseigné et cela s’est fait très vite.

Comment s’est déroulé votre bilan de compétences ?

Mon bilan de compétences a duré 2 mois, à raison d’une séance de 2 heures par semaine. Au premier rendez-vous, on ne sait pas trop comment cela va se passer et ce que ça va donner, on appréhende un peu… Puis cela vous retourne ! Et ça fait du bien. Cela révèle votre état d’esprit aussi.

C’est compliqué quand on exerce le même métier depuis longtemps : on reste sur des acquis et on ne cherche pas plus loin. Le bilan de compétences m’a permis d’ouvrir un chemin.

Quel en a été le résultat ?

Le bilan de compétences m’a reboosté, et m’a encouragé à faire ce que j’ai envie de faire.

Ma forte dimension entrepreneuriale est ressortie. J’ai décidé de ne pas privilégier un métier précis, donc mon choix n’est pas totalement arrêté. Que ce soit en outre-mer ou dans la région… j’ai envie de créer une entreprise de restauration.

Vous semblez accorder autant d’importance au résultat de votre bilan, qu’à la qualité de la relation avec votre conseillère…

C’est tout à fait ça ! Il est parfois compliqué de parler de certaines choses. On peut, certes, en parler à un ami ou à un membre de sa famille, mais ce ne sera pas du tout la même réponse.

Cela s’est extrêmement bien passé avec ma conseillère. Quand quelqu’un est à l’écoute, ça fait du bien. On trouve, ensemble, des réponses à vos questions. On comprend le pourquoi du comment… Et ça aide !

Quel bilan dressez-vous de votre… bilan ?

Je suis très heureux de l’avoir fait, je regrette même de ne pas l’avoir fait plus tôt.

On croit ne pas avoir certaines compétences, et avec le bilan, on se rend compte qu’on les a. Cela vous aide évidemment sur le plan professionnel, mais cela vous apprend aussi beaucoup sur votre vie personnelle. J’ai fait un grand tri dans ma vie grâce à mon bilan de compétences : dorénavant, je laisse tomber les choses qui sont moins importantes.

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

Bien sûr ! Je le recommande à n’importe qui.

On n’en parle pas du tout au niveau scolaire, et c’est dommage ! A la sortie du bac, beaucoup de personnes ne savent pas ce qu’elles veulent faire.

Le bilan de compétences s’adresse à tout le monde. Il ne faut vraiment pas hésiter à se poser des questions pour trouver des réponses.

Légion étrangère bilan de compétences

Thierry Cresson : de la Légion étrangère à Djibouti... au métier d'auxiliaire de vie

Interview Bilan de compétences : Thierry CRESSON

Tout au long de sa carrière, Thierry Cresson a “vadrouillé” (selon ses propres termes), géographiquement mais aussi professionnellement. Avant de décider, à 54 ans, de réaliser un bilan de compétences chez PERSPECTIVE. Témoignage.

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Titulaire d’un CAP boucher, j’ai effectué mon service militaire au 1er régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers (09), à 18 ans. Avant de revenir dans la région pour travailler comme aide-mécanicien avec mon beau-frère, pendant 2 ans, puis dans une entreprise de nettoyage.

A 23 ans, j’ai décidé de m’engager dans la Légion étrangère. Je suis donc parti en outre-mer pendant 4 ans, à Djibouti puis en Guyane, avant de revenir m'installer à Avignon.

 

On peut dire que vous avez beaucoup “vadrouillé”...

Oui ! J’ai fait pas mal de choses. Je ne suis jamais resté inactif, je ne suis jamais resté au chômage. Tout ce que je faisais me plaisait.

Une fois mon contrat à l’Armée terminé, j’ai intégré le centre de tri de l’aéroport de Nice, à 28 ans. Je suis d’abord entré comme magasinier, puis je me suis petit à petit dirigé vers la cuisine, où ils cherchaient un commis : j’ai appris sur le tard et j’y suis resté pendant 23 ans.

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

Il y a quelques années, l’entreprise a fermé. Je suis parti avec une rupture conventionnelle. J’ai changé de société mais pas de métier : j’ai travaillé pendant quelques mois pour l’entreprise API, à Sophia Antipolis, puis pour La Croix Rouge, à Mougins. Et j'ai décidé d'arrêter la cuisine. Cela ne me plaisait plus, je voulais faire autre chose. J’ai songé à une reconversion.

 

Comment avez-vous découvert le centre PERSPECTIVE ?

Pôle Emploi m’a donné une liste d’une vingtaine de centres de bilans de compétences. J’ai téléphoné à plusieurs centres qui n’ont pas répondu. Puis j’ai eu PERSPECTIVE, qui m’a donné un rendez-vous la semaine d’après.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de compétences ?

Mon bilan de compétences a duré 3 mois, à raison de 8 séances de 2 heures. J’ai commencé par faire la liste de ce que je savais faire, avec l’aide de ma conseillère. Je sais bricoler, je sais faire la cuisine, je sais nettoyer… D’emblée, j’ai pensé à l’aide à domicile.

Pendant mon Bilan, on a “vadrouillé” d’un poste à l’autre, en regardant à droite à gauche… J’ai pensé à ambulancier, mais compte-tenu de mon âge, j’ai renoncé. Puis à jardinier, mais je suis allergique au pollen, donc c’était un problème. Finalement, j’en suis donc resté à la première idée.

 

Quel a été le résultat de votre bilan de compétences ? 

A l’issue de mon bilan, je me suis inscrit pour suivre une formation chez Inter Val Formation, à La Trinité, pendant 2 mois, où j’ai décroché mon diplôme. Puis j’ai intégré l’entreprise Domidom, à Nice, où j’ai été embauché en CDI, comme auxiliaire de vie, le 7 décembre. Je suis très heureux parce que je ne voulais pas rester chez Pôle Emploi pendant des mois.

 

Quel est votre sentiment aujourd’hui ?

Je suis ravi, parce que je ne voulais ni travailler dans les hôpitaux, ni dans les maisons de retraite. Mais vraiment m’occuper des personnes à domicile, et c’est ce que je fais aujourd’hui.

Je suis totalement indépendant, je travaille seul, et cela me convient très bien. Je me déplace en voiture ou à moto, entre Cagnes-sur-Mer et Saint-Paul-de-Vence : je continue à “vadrouiller”, à plus petite échelle...

 

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

J’ai déjà commencé à parler du bilan de compétences dans mon entourage : j’ai un ami, électricien de métier, qui s’est fait licencier il n’y a pas très longtemps. Je lui ai expliqué que j’étais passé par PERSPECTIVE et que cela m’a permis de décrocher mon poste actuel.

Mon bilan m’a permis de découvrir un autre métier qui réunit toutes mes compétences. Aujourd’hui, je bricole, je fais de la cuisine… donc je fais ce que j’aime. Et en même temps, je rends service...

Thierry Cresson : de la Légion étrangère à Djibouti... au métier d'auxiliaire de vie

Interview Bilan de compétences : Thierry CRESSON

Tout au long de sa carrière, Thierry Cresson a “vadrouillé” (selon ses propres termes), géographiquement mais aussi professionnellement. Avant de décider, à 54 ans, de réaliser un bilan de compétences chez PERSPECTIVE. Témoignage.

 

Pouvez-vous nous présenter votre parcours en quelques mots ?

Titulaire d’un CAP boucher, j’ai effectué mon service militaire au 1er régiment de chasseurs parachutistes de Pamiers (09), à 18 ans. Avant de revenir dans la région pour travailler comme aide-mécanicien avec mon beau-frère, pendant 2 ans, puis dans une entreprise de nettoyage.

A 23 ans, j’ai décidé de m’engager dans la Légion étrangère. Je suis donc parti en outre-mer pendant 4 ans, à Djibouti puis en Guyane, avant de revenir m'installer à Avignon.

 

On peut dire que vous avez beaucoup “vadrouillé”...

Oui ! J’ai fait pas mal de choses. Je ne suis jamais resté inactif, je ne suis jamais resté au chômage. Tout ce que je faisais me plaisait.

Une fois mon contrat à l’Armée terminé, j’ai intégré le centre de tri de l’aéroport de Nice, à 28 ans. Je suis d’abord entré comme magasinier, puis je me suis petit à petit dirigé vers la cuisine, où ils cherchaient un commis : j’ai appris sur le tard et j’y suis resté pendant 23 ans.

 

Qu’est-ce qui vous a amené à faire un bilan de compétences ?

Il y a quelques années, l’entreprise a fermé. Je suis parti avec une rupture conventionnelle. J’ai changé de société mais pas de métier : j’ai travaillé pendant quelques mois pour l’entreprise API, à Sophia Antipolis, puis pour La Croix Rouge, à Mougins. Et j'ai décidé d'arrêter la cuisine. Cela ne me plaisait plus, je voulais faire autre chose. J’ai songé à une reconversion.

 

Comment avez-vous découvert le centre PERSPECTIVE ?

Pôle Emploi m’a donné une liste d’une vingtaine de centres de bilans de compétences. J’ai téléphoné à plusieurs centres qui n’ont pas répondu. Puis j’ai eu PERSPECTIVE, qui m’a donné un rendez-vous la semaine d’après.

 

Comment s’est déroulé votre Bilan de compétences ?

Mon bilan de compétences a duré 3 mois, à raison de 8 séances de 2 heures. J’ai commencé par faire la liste de ce que je savais faire, avec l’aide de ma conseillère. Je sais bricoler, je sais faire la cuisine, je sais nettoyer… D’emblée, j’ai pensé à l’aide à domicile.

Pendant mon Bilan, on a “vadrouillé” d’un poste à l’autre, en regardant à droite à gauche… J’ai pensé à ambulancier, mais compte-tenu de mon âge, j’ai renoncé. Puis à jardinier, mais je suis allergique au pollen, donc c’était un problème. Finalement, j’en suis donc resté à la première idée.

 

Quel a été le résultat de votre bilan de compétences ? 

A l’issue de mon bilan, je me suis inscrit pour suivre une formation chez Inter Val Formation, à La Trinité, pendant 2 mois, où j’ai décroché mon diplôme. Puis j’ai intégré l’entreprise Domidom, à Nice, où j’ai été embauché en CDI, comme auxiliaire de vie, le 7 décembre. Je suis très heureux parce que je ne voulais pas rester chez Pôle Emploi pendant des mois.

 

Quel est votre sentiment aujourd’hui ?

Je suis ravi, parce que je ne voulais ni travailler dans les hôpitaux, ni dans les maisons de retraite. Mais vraiment m’occuper des personnes à domicile, et c’est ce que je fais aujourd’hui.

Je suis totalement indépendant, je travaille seul, et cela me convient très bien. Je me déplace en voiture ou à moto, entre Cagnes-sur-Mer et Saint-Paul-de-Vence : je continue à “vadrouiller”, à plus petite échelle...

 

Recommanderiez-vous le bilan de compétences autour de vous ?

J’ai déjà commencé à parler du bilan de compétences dans mon entourage : j’ai un ami, électricien de métier, qui s’est fait licencier il n’y a pas très longtemps. Je lui ai expliqué que j’étais passé par PERSPECTIVE et que cela m’a permis de décrocher mon poste actuel.

Mon bilan m’a permis de découvrir un autre métier qui réunit toutes mes compétences. Aujourd’hui, je bricole, je fais de la cuisine… donc je fais ce que j’aime. Et en même temps, je rends service...

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    17:14 24 May 25
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    Laure C.
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    J’ai bénéficié d’une journée et demi de formation, avec le groupe Generali, dispensée par Armen TIMOURDJIAN, et très franchement ce fut une expérience vraiment réussie tant au niveau de l’animation, que de la qualité des conseils prodigués en fonction de chaque profil.Armen maitrise vraiment son sujet, et on vit la formation différemment car malgré le fait d’être en groupe il sait s’adapter de manière individuelle à chaque personne dans la salle.Je recommande vraiment ses prestations.Najim de Generaliplus
    Najim
    10:32 06 Mar 24
    merci au groupe PERSPECTIVE pour m'avoir accompagner pour mon projet de VAE. J'ai pu profiter de l'expérience de madame Kershaw qui a su exploiter mes connaissances pour m'aider dans mon projet. Milles merci +++plus
    Claude C.
    19:57 15 Feb 24
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    Yohan G.
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    J'ai aimé les cours que nous a fait Monsieur Timourdjian à l'IAE. Sa méthode d'enseignement est axée sur des exemples concrets ce qui facilite l'apprentissage, de plus il est de très bon conseils. C'est important pour nous d'avoir des cours donnés par des intervenants qualifiés.plus
    Fanny D.
    13:30 16 Jan 24
    Après une expérience très positive avec le Groupe PERSPECTIVE, je tenais à souligner la bienveillance et l'accompagnement dont j'ai pu bénéficier. Personnel à l'écoute et de très bons conseils.plus
    Méghane DE L.
    12:15 08 Jan 24
    J'ai suivi la formation "Développer son organisme de formation" dispensée par Armen Timourdjian et j'ai particulièrement apprécié le contenu et la capacité d'adaptation du formateur pour rendre les échanges très pertinents au regard de mes activités. Je recommande !plus
    Alexandre E.
    10:43 02 Nov 23
    Organisme très réactif à l’écoute et toujours bienveillant .
    thomas
    07:27 07 Aug 23
    Une approche professionnelle et des intervenants de grande qualité.
    Sébastien P.
    23:43 08 Jul 23

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